Offrez un coup d’avance à vos collaborateurs

Tech - Télécom

Le fisc inflige un redressement de 63 millions d’euros à Betclic, le site de paris de Stéphane Courbit

Betclic ne veut pas payer la TVA de 20% sur les paris à cote.

Stephane Courbit
Stephane Courbit MEHDI FEDOUACH / AFP

Mauvaise nouvelle pour Betclic. Selon les informations de l’Informé, le site de paris sportifs a reçu ces derniers mois deux factures salées : des redressements fiscaux portant sur les années 2018 à 2020 pour un  total de 63 millions d’euros. Furieux, le site de Stéphane Courbit entend contester la douloureuse devant la justice administrative, voire devant la cour de justice européenne. Le conflit porte sur la TVA sur les paris sportifs à cote. Autorisés en France en 2010, ces paris attribuent à chaque rencontre une cote puis offrent au joueur un gain correspondant à sa mise multipliée par cette cote.