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Continuer la lectureL’OM traîné en justice aux États-Unis pour son label de rap
Sous la houlette de son ancien président Jacques-Henri Eyraud, l’Olympique de Marseille avait créé la maison de production OM Records. Problème : un label du même nom existait déjà en Californie.

En février 2017, l’ancien boss de l’OM (2016-2021) Jacques-Henri Eyraud avait surpris tout le monde en chantant quelques passages du titre « Bad Boys de Marseille » du groupe IAM au détour d’une interview. En septembre 2020, il avait même poussé le bouchon encore plus loin en annonçant la création par l’OM de son propre label de rap, « OM records », en partenariat avec la maison de disques BMG. De cette collaboration est née la compilation « Vendredi 13 », réunissant plusieurs rappeurs de la ville (Soprano, Jul, L’Algerino, le Rat Luciano). Mais comme le mandat de Jacques-Henri Eyraud, cette aventure musicale a tourné court. Et le label créé par l’Olympique de Marseille lui vaut aujourd’hui de se retrouver sur les bancs de la justice californienne, façon West Coast.