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Médias - Culture

Biscuits, logiciels, club de foot… les bonnes (et moins bonnes) affaires de Patrick Bruel

Aussi discret dans le business qu’exposé sur scène, le chanteur épaule, dans l’ombre, de nombreuses jeunes pousses grâce à l’argent récolté avec Winamax. Avec des résultats contrastés.

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Stephane Cardinale - Corbis / Corbis via Getty Images

L’affaire avait tout de la future success story. Créée en 2020, la start-up Ovvi est née d’une idée prometteuse : développer des tests pour détecter les maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme, deuxième chez l’homme. Soutenu par Bpifrance, le projet a su séduire les investisseurs… jusqu’aux plus inattendus : Patrick Bruel. À lui seul, l’artiste a misé 1,3 million d’euros sur la jeune pousse. Mais voilà, à peine deux ans plus tard, fin de l’histoire, la société a été dissoute il y a quelques mois. « J’y croyais vraiment, mais cela nécessitait beaucoup d’argent pour des perspectives à très long terme, souffle la star, depuis Los Angeles. C’est mon plus gros raté. »