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Énergie - Environnement

Fermeture de la centrale de Cordemais : pourquoi EDF ménage la CGT

Le top management tâtonne sur la réponse à apporter aux débordements de fin septembre sur le site de Loire-Atlantique.

Rassemblement de salariés EDF devant la centrale de Cordemais en septembre 2021.
Rassemblement de salariés EDF devant la centrale de Cordemais en septembre 2021. SEBASTIEN SALOM-GOMIS / AFP

Le sujet paraît moins stratégique que le déploiement des futurs EPR 2, mais il occupe pourtant les discussions au sein d’EDF. Des managers aux organisations syndicales, on s’interroge : comment l’énergéticien va-t-il se dépêtrer industriellement et socialement de la fermeture de la centrale thermique de Cordemais (Loire-Atlantique), officialisée fin septembre par la direction. La situation est compliquée à plus d’un titre. Industriellement d’abord, l’entreprise doit convaincre les syndicats de la pertinence du nouveau projet qu’il prévoit sur le site : en l’état, une usine de préfabrication des tuyauteries destinées aux EPR 2, confiée à sa filiale Framatome.