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Médias - Culture

ADN, Crunchyroll… les services de vidéo peinent à financer des animés français

Les plateformes de séries animées japonaises doivent soutenir la création française en investissant 20 % de leur chiffre d’affaires. Une contrainte qu’ADN n’a pas pu respecter.

Montage l’Informé. Toei Animation. Wakanim.
Montage l’Informé. Toei Animation. Wakanim. Montage l’Informé. Toei Animation. Wakanim.

One Piece, Demon Slayer, Naruto, Jujutsu Kaisen… les dessins animés japonais dérivés de célèbres mangas papiers séduisent les jeunes français. L’engouement est tel que des plateformes de vidéo à la demande illimitée par abonnement (SVOD) dédiées à ces contenus ont été lancées. Deux grands services existent en France : Animation digital network (ADN), propriété de Média-Participations (Dargaud, Kana…), et Crunchyroll (Sony Pictures), deux sociétés liées jusqu’en 2022 par un actionnaire commun et désormais séparées. Mais les voilà victimes de leur succès.