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Continuer la lectureImmobilier de luxe : les dessous invraisemblables du divorce entre Barnes et Virginie Calmels
La justice vient d’estimer que l’ex-femme politique n’avait pas commis de faute à l’égard de son ancien employeur. Elle l’avait quitté en 2019 en portant de graves accusations, dont l’Informé révèle la teneur.
Dans le petit monde feutré de l’immobilier de luxe, l’histoire n’a pas fini de faire jaser. Elle se joue entre Barnes, important réseau dédié aux adresses de prestige (5,1 milliards d’euros de volume de ventes en 2021), et Virginie Calmels, figure détonante du business et de la politique. En mars 2019, le groupe a recruté cette ancienne dirigeante du producteur de télévision Endemol, devenue n°2 du parti les Républicains, et bras droit d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux. Sa mission ? « Créer la première grande marque de luxe mondiale dans le domaine des services ». Au bout de trois mois seulement, la présidente a claqué la porte, sonnant le début d’un violent conflit avec son éphémère employeur. Tous deux se sont mutuellement attaqués en justice. Selon nos informations, la cour d’appel de Paris vient de trancher le litige. Elle a jugé que rien ne pouvait être reproché à l’ex patronne et a condamné Barnes à lui payer 50.000 euros de frais de procédures. Mais le plus intéressant est ailleurs : les multiples jugements révèlent les dessous rocambolesques de ce divorce entre Virginie Calmels et Thibaud de Saint Vincent, le fondateur qui détient 75% du capital. Voyez plutôt.